Jeune fille fauchée offre son trou du cul contre un kebab

Jeune fille fauchée offre son trou du cul contre un kebab

Une jeune fille de bonne famille sort de la boîte de nuit, ivre et étourdie. Elle réalise qu’elle a raté le dernier métro et qu’elle est bloquée dans le 18ème arrondissement de Paris sans un sou en poche pour prendre un taxi. La faim lui tenaille l’estomac, et elle a besoin de retrouver ses esprits. Elle aperçoit une petite enseigne au néon qui clignote : “Au Plaisir d’Istanbul”, un kebab qui semble être le seul endroit encore ouvert dans le quartier.

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Vidéo porno d’une jeune fille qui offre son cul pour un kebab

Elle se dirige vers la porte d’entrée en titubant, la pousse et entre dans le petit restaurant mal éclairé. L’endroit est petit, négligé, les murs sont jaunis et les carreaux sales. Le patron, un gros turc, est assis derrière le comptoir. une cigarette à la bouche, Il la fixe avec insistance, un sourire lubrique se dessine sur ses lèvres alors que ses yeux s’attarde sur sa poitrine mise en valeur par un wonderbra.

Demander un kebab gratuit, mauvais plan

Elle lui explique sa situation, espérant qu’il aura pitié d’elle et qu’il acceptera de lui offrir un grec juste pour ses beaux yeux. Mais le patron la regarde de manière inquiétante et trop gentille pour être honnête. Elle se rend compte que quelque chose ne va pas et tente de sortir de l’établissement au moment où il prend la parole.

“Je te fais une proposition, ma chère,” dit-il d’une voix mielleuse. “Tu peux manger gratuitement, mais en échange, tu devras me faire plaisir, et je pense que tu sais de quoi je parle.” Les yeux de la jeune fille s’écarquillent de stupeur et de peur alors qu’elle recule lentement, son cerveau cherchant frénétiquement une solution pour s’échapper de cette situation glauque et terrifiante.

Le 18ème et ses rues sombres pleine de racailles

Même s’il plaisante, la plaisanterie est de très mauvais goût et totalement inappropriée, alors elle lui lance un “pauvre con” avant de sortir en claquant la porte. La jeune fille s’échappe en courant du kebab, espérant échapper au patron qui vient de lui faire une proposition abjecte. Elle erre dans les rues sombres du 18ème arrondissement, cherchant désespérément un moyen de rentrer chez elle. Mais soudain, elle entend des voix qui l’interpellent au loin. Elle se retourne et voit une bande de jeunes hommes “à l’air pas très catholiques” qui l’observent avec hostilité.

La jeune fille se fait insulter et tripoter

“wesh la meuf, t’es perdue ou quoi ?” crie l’un d’entre eux avec une grosse voix.

Ils s’approchent rapidement, leur présence menaçante et leurs look de racailles faisant battre le cœur de la jeune fille à tout rompre. Ils la bousculent et la traitent de tous les noms. “Pute”, “salope”, “chiennasse”, hurlent-ils. La jeune fille se sent prise au piège, comme une souris traquée par des chats affamés.

Elle tente de s’enfuir, mais ils la rattrapent facilement. Ils la jettent contre un mur et commencent à la palper de façon obscène. La jeune fille hurle et se débat, mais leur emprise est trop forte. Elle sait qu’elle est en danger et qu’elle doit trouver un moyen de s’en sortir.

Entre un mal et un groupe de mâles

Alors, elle aperçoit la lumière tamisée du kebab au loin. Elle se faufile entre les mains des agresseurs et court aussi vite qu’elle le peut vers le restaurant. Elle pousse la porte, s’effondre sur le sol et se retourne pour voir les hommes enragés hurlant dehors.

Elle sait qu’elle est en sécurité pour le moment, mais elle sait également que la nuit ne fait que commencer. Le patron court et ferme la porte à clef puis baisse le rideau de fer alors que les voyous commencent à mettre des coups de pieds dans la vitrine. La jeune fille se sentit submergée par la honte et l’angoisse. Elle avait été piégée, pris au piège de ses propres choix malheureux. Elle se sentait sale, souillée, par cette bande de voyous. Le patron du kebab la fixait d’un regard froid et cruel, presque satisfait, il était temps pour lui d’exercer son chantage.

cul sale mais ventre plein

“Tu n’as pas le choix”, dit-il d’une voix rauque, le visage impassible. “Tu as besoin de moi pour qu’il te laisse tranquille, n’est-ce pas? Alors pour commencer tu vas manger et ensuite tu vas devoir accepter tout ce que je te demande. Tout ce que je veux.” La jeune fille ne pouvait pas croire ce qui se passait. Elle avait toujours été une personne raisonnable et réfléchie, jamais prise dans des situations aussi désespérées. Mais maintenant, elle se sentait comme si elle était tombée dans un gouffre profond, sans espoir de s’en sortir.

La jeune fille est à la merci du gros pervers

Elle ferma les yeux, essayant de bloquer les images qui surgissaient dans sa tête. Elle pouvait sentir le souffle chaud du patron sur son visage, l’absence de bruit des voitures et de gens dans la rue, elle n’entend rien d’autre que les racailles qui secoue le rideau, puis un silence inquiétant. Elle savait qu’elle n’avait pas le choix. Elle devait tout accepter de la part du patron. Tout ce qu’il voulait. C’était à présent une question de survie.

Le patron se dirige alors vers sa broche de viande et commence à le découper.

“Tomate oignon salade ? Mayonnaise ou samouraï ?”

“Mettez ce que vous voulez” Répond t’elle.

” Sauce blanche alors! Je vais bien te le remplir et te mettre beaucoup de frites, car tu va avoir besoin de force ” Dit t’il avec un air plein de sous entendus. Il lui tend alors le sandwich, qu’elle prend le temps de déguster au risque qu’il refroidisse, car elle sait déjà ce qui l’attend après. La jeune fille avale le plus lentement qu’elle peut la dernière bouchée de son sandwich en prenant le temps de la mastiquer. Le gros turc lui se montre patient, il lit le journal en s’arrêtant de temps en temps pour la regarder de la manière la plus obcène qui soit, il sait qu’elle lui est acquise.

Il l’engueule et lui ordonne de se mettre à poil

La jeune fille se rapproche alors de lui, les yeux baissés, elle tremble, suppliant le patron de lui permettre de partir car elle n’entend plus les racailles. Elle a si peur mais elle pense aussi aux racailles qui l’attendent encore peut-être dehors, prêtes à lui faire du mal. Elle veut juste sortir d’ici et rentrer chez elle mais elle sait que cela n’est plus possible. De toutes manières ses supplications semblent tomber dans l’oreille d’un sourd. Le patron se met soudainement à l’engueuler, l’exhortant à retirer tous ses vêtements. La panique s’empare d’elle. Elle ne peut pas croire que cela lui arrive. Elle lève la tête et le regarde avec des yeux emplis d’effroi.

“S’il vous plaît, non…”, murmure-t-elle d’une voix tremblante. Mais le patron semble déterminé à obtenir ce qu’il veut. Elle se rend compte que son charme n’est pas un atout face à la brutalité de cet homme, c’est même le contraire. Elle commence à trembler de tout son corps, ses mains sont moites. Elle sait qu’elle n’a pas le choix, qu’elle doit obéir si elle veut éviter une confrontation avec lui ou pire, avec les racailles qui l’attendent surement à l’extérieur. Elle ferme les yeux et, lentement, commence à retirer ses vêtements, l’un après l’autre, comme si elle était en train de se déshabiller devant une foule de spectateurs.

Il caresse le corps de la petite

Ses joues rouges de honte, elle est pétrifiée, ne sachant pas ce qui va se passer ensuite. Elle se tient devant lui, nue et tremblante. Le patron pervers a finalement obtenu ce qu’il voulait, et maintenant il la dévisage avec un mélange de désir et de mépris. Il allume une cigarette, l’air satisfait, avant de se tourner vers elle. Ses mains rugueuses se posent sur sa peau douce, la faisant frissonner de dégoût. Il explore chaque centimètre de son corps, comme s’il était en train d’examiner une marchandise qu’il allait bientôt vendre. Elle ferme les yeux, espérant que cela finira vite, que ce cauchemar prendra fin.

Il la touche partout, sans aucune considération pour ses sentiments. Ses mains se faufilent entre ses cuisses, tandis qu’il la pousse vers le mur. Elle sent son souffle chaud dans son cou, puis ses lèvres sur sa peau. Elle voudrait hurler, mais sa gorge est nouée par la peur. La petite n’a pas les gros nichons sexy qu’il espérait mais il décide de s’en contenter, ils sont petits mais assez beau pour l’allumer. Il n’a pas niqué depuis ses dernières vacances en Turquie, son pays bien aimé, il pense alors avec nostalgie à tous les bordels turcs qu’il connait comme sa poche et qui lui manquent tant. Mais là il a sous sa coupe une petite pute bourgeoise, alors il ne compte pas faire le difficile.

Il bouffe sa chatte comme on bouffe un kebab

Pour commencer il lui caresse les poils de sa chatte et se met rapidement à genoux devant elle pour lui bouffer sa grosse chatte comme on bouffe un kebab bien goûteux. Le salaud ne manque pas d’expérience et comme c’est un expert du cunni la mouille coule de la chatte de la jeune bourgeoise, presque contre son gré, au final c’est réellement une petite pute comme les autres sous ses grands airs. Le turc sent sa bite qui devient dure comme du fer et il lui annonce qu’elle va devoir supporter de nombreuse chose, il lui dit qu’il va lui prendre la chatte et qu’il s’occupera de son petit trou ensuite. Heureusement pour elle, cela fait longtemps que ces deux orifices ne sont plus vierges, une bien maigre consolation au vu de ce qui l’attend.

Obligée de sucer le patron du kebab, tradition oblige

Mais avant cela il a une autre envie tout aussi sulfureuse, il lui ordonne de lui faire une fellation, c’est la tradition chez nous avant de baiser dit t’il. Au point où elle en est elle sent une excitation malsaine qui l’envahit, remplaçant peu à peu toute la terreur qui lui nouait le ventre. Elle se met donc à genou et elle lui taille une bonne pipe, en faisant de son mieux, surement pour se réapproprier son corps. Comme l’expression le dit “il bande comme un turc” et se sent bien dans la bouche habile de cette petite pute. Il se doutait depuis longtemps que les française était de bonnes suceuses, maintenant il en a la preuve.

Il la baise et lui met son merguez dans l’oignon

Il est temps de l’enfiler, alors il lui dit de se mettre debout et de poser ses main sur le mur, puis il glisse son gros nœud dans son vagin lui arrachant un cri aigu et un râle de satisfaction. Elle a honte mais elle se fait baiser la moule bien à fond et cela commence vraiment à lui plaire. Alors qu’elle sent sa grosse bite bien au fond de sa chatte, il se retire et lui dit ” moi dans le kebab ce que je préfère c’est l’oignon”. Il se met à rigoler de sa petite blague, et joignant le geste à la parole il lui introduit sa merguez dans l’oignon. Le salaud bande comme un âne turc, et il la fait chialer en l’enculant jusqu’à ce que la douleur se transforme en une sensation agréable.

Il lui envoie sa sauce maison sur la langue

Peu à peu elle se rend compte avec un certain effroi qu’elle prend goût à sentir la bite de ce turc répugnant dans son anus. Il est si doué en la matière qu’elle prend un pied d’enfer sans pouvoir se retenir, mais sa fierté n’est déjà plus qu’un souvenir, elle se sent bien en faisant la pute, elle doit bien l’admettre. Pour conclure après lui avoir explosé l’anus à coup de bite, il lui demande d’ouvrir sa bouche bien en grand et lui éjacule de longs jet de sperme sur sa langue. Elle avale son sperme et commence à se rhabiller, il est 5h du matin, et les métro ouvre très bientôt. Elle sourit en se disant qu’elle va enfin pouvoir rentrer chez elle, elle a survécu et c’est le principal.

Bon j’avoue que cette vidéo porno est un peu limite et malsaine, mais n’oublions pas qu’il s’agit d’un scénario, une comédie porno, mais elle semble vraie car parfaitement réalisée . Franchement on s’y croirait et je me fais souvent plaisir en regardant cette jeune fille fauchée qui offre son trou du cul contre un kebab, vous aussi vous apprécierez les talents de ce duo atypique, ne la loupez pas.

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