Un banquier pervers se sert de sa position pour abuser d’une de ses clientes, jusqu’où ira t-il ? Découvrez comment une jeune femme a été victime d’abus de la part d’un banquier pervers et corrompu. Pénètre dans l’esprit dérangé et malveillant de l’employé de banque comme si vous y étiez. Cette histoire met en lumière les dangers de l’abus de pouvoir, le chantage et les rapports de force, soyez vigilante mesdames.
Chantage pervers
Le banquier se réveille, encore engourdi de sommeil, il se sent fatigué mais il doit travailler. Comme à son habitude, Il a passé une grande partie de la nuit sur le net à consommer du porno, il ne peut s’en empêcher . Par reflexe, il jette un coup d’œil autour de lui, vers les posters de femmes à moitié nues qui tapissent les murs de sa chambre, cela l’excite un peu. L’homme se dit qu’il va lui falloir un café pour tenir le coup. Heureusement, aujourd’hui il sait que sa journée sera courte et qu’il pourra bientôt se recoucher, merci les RTT.
Il se dirige vers la salle de bain, où un tapis en forme de cœur rouge, recouvre le sol, il se regarde dans le miroir, s’étire et se rafraîchit le visage. Il ouvre la porte de sa chambre et se dirige vers le salon où il est accueilli par une real doll toute usée, avec les cheveux en bataille. La poupée sexuelle est posée sur le canapé, ses jambes écartée ne laissent pas de place au doute. Pas besoin de réfléchir longtemps pour savoir ce qu’elle subit chaque jour.
Le pervers typique
Il sourit à nouveau, puis laisse s’échapper un petit rire nerveux en la regardant, tout en se rappelant les moments qu’il a passé avec elle la nuit précédente. Mais il perd vite sa bonne humeur en se disant qu’il faudra encore la vider en rentrant. Puis l’homme se dirige vers la cuisine, ouvre la porte du réfrigérateur pour se servir du café, et se dirige vers la table de la cuisine. Sans surprise, il y trouve des magazines pornographiques empillés, il les feuillète un peu à son habitude. Sans se poser la moindre question, il les prend et les glisse dans sa sacoche, il sait qu’il en aura besoin lors de sa pause déjeuner.
Le temps passe vite alors il prend vite son café et sort de chez lui, il monte dans sa voiture et se dirige vers la banque. Bien sûr il sait qu’il est pervers et il aime cela, heureusement pour lui il sait qu’il doit être discret et attendre cet après midi. C’est un jour particulier qui va lui permettre de mettre ses perversions en pratique au travail. Le salaud a un plan pour assouvir ses envies, il a déjà tout prévu, il sait exactement comment il va s’y prendre. Alors il se sent excité à l’idée de mettre en œuvre son projet. Il sourit en pensant aux moments de plaisir qui l’attendent.
Contenir sa perversion, pas facile
Vingt minute plus tard le banquier était toujours assis dans sa voiture, en route pour le bureau. Sans surprise, il était comme les autres conducteurs coincé dans les embouteillages, mais cela ne semblait pas le déranger. Cela lui laissait tout son temps pour regarder les femmes dans la rue, en les imaginant nues et offertes, il se faisait des scénarios érotiques avec chacune d’entre elles. Cet obsédé se demandait comment il pourrait les séduire, comment il pourrait les posséder, les toucher, et les faire jouir.
Sa perversion le contrôlait totalement et il se sentait excité à l’idée de les dominer financièrement, et de les utiliser à son propre plaisir. Ce détraqué ne pouvait s’empêcher de les imaginer nues, se contorsionnant sous lui, gémissant son nom. Il sourit en pensant à toutes les possibilités qui s’offraient à lui. Il se sentait vivant et puissant. L’homme était à présent impatient d’arriver au bureau pour mettre ses fantasmes en pratique, cette fois il aurait le courage d’aller au bout de ses désirs lubriques.
Une occasion de laisser libre cours à sa perversité
L’homme se rappela de sa dernière rencontre avec une de ses clientes dans le besoin, elle était belle, élégante et avait l’ait d’être prête à tout pour obtenir un crédit afin de faire des travaux dans son appartement. Il s’en foutait de son crédit, lui avait plutôt remarqué ses jambes fuselées, ses belles fesses bien rondes, et son décolleté plongeant. Il ne pouvait s’empêcher de fantasmer à propos de ses formes généreuses.
Le banquier se rappela comment il avait du mal à se concentrer sur ses paroles pendant leur réunion, sa voix douce et sensuelle résonnant dans sa tête. Il savait qu’il devait la revoir, il fallait qu’il trouve un moyen de la rencontrer à nouveau. Ce tordu décida de lui proposer un rendez-vous pour discuter de son crédit, sachant très bien que ce n’était qu’un prétexte pour la revoir. Il était déterminé à vivre ses fantasmes avec elle, quels qu’en soient les risques.
Le banquier arriva finalement au bureau et se dirigea vers son bureau, saluant les employées au passage. Il ne pouvait s’empêcher de les reluquer, se demandant laquelle il baiserait s’il le pouvait. L’homme se rendit compte en passant devant une vitre qu’il avait un sourire pervers sur le visage, mais contrairement aux employées féminines de la banque, cela ne l’inquiétait pas. Ce salaud se sentait invincible et sûr de lui.
Une bonne proie pour un pervers
Il s’assit à son bureau et commença à regarder les dossiers de ses clients, cherchant celui de la femme qui l’obsédait, il la sentait très vulnérable. Ses pensées devenaient fantasmes, il voulait à tout prix la prendre sur son bureau ou contre un mur, comme la salope qu’elle était à ses yeux. Le banquier trouva enfin son nom et sourit, se rappelant les détails de leur rencontre. Il décida de l’appeler pour fixer un rendez-vous.
Le banquier composa le numéro de la jeune femme et patienta jusqu’à ce qu’elle décroche. Il se présenta avec assurance et lui expliqua qu’il souhaitait discuter de sa demande de crédit avec elle. Après cela, il lui proposa de se rencontrer pour discuter des détails. Evidemment, il était conscient que c’était un prétexte pour la revoir, mais il voulait le faire avec finesse, en évitant de paraître trop direct.
Le pervers doit toujours satisfaire ses besoins
Il lui laissa entendre qu’il pourrait être plus favorable à sa demande de crédit si elle était compréhensive envers ses besoins d’hommes. La jeune femme ne semblait pas surprise, mais curieusement ne disait plus rien, elle savait surement à qui elle avait affaire. Le salaud n’avait fait que la mater sans vergogne et avec insistance lors du précédent rendez-vous. Il attendit sa réponse avec anxiété, espérant qu’elle accepterait de le rencontrer. La réponse arriva enfin, elle était positive, mais pas enthousiaste.
Cette nouvelle excita le banquier qui se mit immédiatement à bander. L’obsédé sexuel se diriga vers les toilettes pour se soulager, emportant une revue érotique cachée dans son journal avec lui. Il savait qu’il jouait avec le feu, mais il ne pouvait s’empêcher de continuer l’aventure. Il était obsédé par cette femme et il ferait tout pour la posséder. Quelques heures plus tard, il était assis à son bureau, occupé à traiter les dossiers de sa cliente pour qu’il soit accepté.
Le banquier pervers passe à l’attaque
Elle arriva à 15h pile comme convenu, c’était une belle femme dans la vingtaine, avec des cheveux bruns et des formes généreuses. Il ne pouvait s’empêcher de la dévisager, elle était un peu nerveuse, cela faisait monter du désir en lui. Elle leva les yeux vers lui et il vit une lueur de désir dans son regard. Il savait qu’il ne devrait pas, mais il ne put résister à l’envie de l’embrasser. En proie à sa perversité, il se leva de son fauteuil et se rapprocha d’elle, posant ses lèvres sur les siennes.
Sans pouvoir se maitriser, il l’embrassa avec passion, glissant sa main sous sa jupe pour caresser sa peau chaude et douce. Il sentit son désir augmenter encore plus lorsqu’il sentit la chaleur de son sexe à travers sa culotte. Il passa sa main sous l’élastique de sa culotte pour caresser son clitoris, sentant sa respiration s’accélérer sous ses caresses. Elle gémit contre ses lèvres, enroulant ses jambes autour de sa taille pour se coller encore plus contre lui.
Il la caresse et l’oblige à le sucer
Le pervers la souleva alors et la déposa sur le bureau, écartant ses jambes pour glisser sa main sous sa culotte et caresser son sexe humide. C’était écrit d’avance, il sentit son propre désir devenir incontrôlable et il se mit à la caresser avec de plus en plus d’ardeur, sentant son corps se tendre sous ses caresses. Il glissa alors un doigt en elle, la faisant gémir de plaisir.
Ce vicieux sentit alors son propre désir monter en lui, et il retira ses doigts plein de mouille pour se déboutonner et libérer son sexe de son pantalon, puis exigea une fellation. Pendant qu’elle le suçait il se pencha alors sur elle, glissant sa tête entre ses jambes pour lécher son sexe humide et chaud. Il sentit son goût mielleux et sucré envahir sa bouche, augmentant encore plus son désir.
Il assouvit tous ses désirs pervers
Le salaud lécha son clitoris en se retenant d’éjaculé pendant qu’elle bouffait sa bite, la faisant gémir de plaisir. Il la lécha jusqu’à ce qu’elle jouisse, sentant son corps se tendre sous lui. Puis le banquier se releva alors pour la pénétrer, la prenant avec force et passion. Sans délicatesse, il la pénétra profondément, sentant sa chaleur l’envelopper. Excité comme jamais, il commença à aller et venir en elle, sentant son propre désir monter à chaque coup de rein.
Il regarda son visage, ses yeux fermés, sa bouche entrouverte, et il vit qu’elle était tout aussi excitée que lui. Alors il accéléra le rythme de ses mouvements en l’injuriant, sentant l’orgasme monter en lui. Il sentit sa propre éjaculation se libérer en elle, tandis qu’elle atteignait l’orgasme à son tour. Ils restèrent ainsi, haletants, enlacés, pendant de longues minutes, puis la cliente se rhabilla rapidement avant de quitter le bureau, l’approbation pour son crédit en main.
Une petite culotte de plus pour sa collection
Il se leva et se rhabilla à son tour, ramassant la culotte de la cliente qui était restée par terre. Il la huma, sentant l’odeur féminine qui s’en dégageait. Le vicelard se rappela la sensation de cette chair contre la sienne, de ces mouvements, de ces gémissements. Il se sentit à nouveau envahi d’une vague de désir, et il se mit à se caresser en pensant à elle. Finalement, il sentit l’orgasme monter en lui, et éjacula son sperme dans la petite culotte en pensant à cette cliente qui l’avait excité à ce point.
Il rangea la culotte souillé dans une pochette en plastique et la pochette dans son tiroir, se promettant de la garder précieusement. Le banquier se rappellerait longtemps de cette rencontre, de cette sensation de plaisir intense qu’elle lui avait procurée. Il quitta le bureau, l’esprit encore tout empli de cette rencontre perverse et malsaine.
Information
Chers lecteurs, je tiens à souligner encore que l’histoire de chantage impliquant ce banquier et sa cliente présentée dans ce texte est purement fictive. Nous ne tolérons en aucun cas de telles actions répréhensibles, qui sont illégales et moralement inacceptables. De plus, nous voulons souligner l’importance du consentement dans toutes les interactions sexuelles ou intimes, a bon entendeurs.